La violence routière et toutes ses victimes innocentes, ça suffit. enfants renversés en pleine agglomération, autres innocentes victimes qui marchaient sur le trottoir... Quel parent, en voyant partir son enfant, n'a jamais craint de ne plus le revoir, victime de la circulation ? La fatalité, le destin, ne devraient jamais pouvoir être invoqués. Nous sommes tous coupables, plus ou moins consciemment, d'erreurs sur la route. C'est notre comportement que nous devons changer. Il faut améliorer la sécurité. Par l'enseignement des règles de circulation dès la maternelle. Par la mise en place systématique de ralentisseurs (si ça casse les amortisseurs, c'est bien fait, on n'a qu'à rouler plus lentement). Par des contrôles plus fréquents et une répression plus sévère, sans possibilité de faire sauter les P.V.
(Clementia dans le Journal L'Alsace du 5 décembre 1987)
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