Επιδημία (epidemia) : Comme une épidémie, contagieuse, communicative... C'est ainsi que je veux partager avec vous mes réflexions du moment sur des sujets variés (actualité, humeur, etc.) N'hésitez pas à vous exprimer à votre tour : un blog est surtout vivant par les commentaires de ses visiteurs. Merci d'avance !

dimanche 31 octobre 2010

Michèle Torr - A Mon Père


Week-end de fin d'octobre à début novembre : journées consacrées à se souvenir de ceux qui sont passés de l'autre côté... Souvenirs des jours enfuis...

mercredi 27 octobre 2010

Insolite - Des relances de cotisations envoyées au défunt jusqu'au cimetière - L'Alsace


Vu dans la presse :

Insolite - Des relances de cotisations envoyées au défunt jusqu'au cimetière - L'Alsace

Insolite

Des relances de cotisations envoyées au défunt jusqu'au cimetière

Un organisme de protection sociale a envoyé des courriers d'appel à cotisations à un défunt à l'adresse de son cimetière à Arleux (Nord), raconte mercredi le journal La Voix du Nord.

Lasse de continuer à recevoir les courriers de relance du Régime social des indépendants (RSI) au nom de son époux décédé en mai dernier, Lysiane Duwel avait fini par leur écrire sèchement que sa nouvelle adresse était le cimetière de cette localité.

Sans tenir compte de l'anomalie, la caisse a continué à adresser les courriers jusqu'au «dernier avis avant poursuite» à cette adresse insolite. C'est le gardien du cimetière qui les a réceptionnés et transmis à la mairie qui les a fait suivre à la veuve.

Celle-ci, qui était batelière avec son mari, avant de redevenir salariée sur un autre bateau depuis son veuvage, estime pourtant avoir effectué toutes les démarches nécessaires. Elle a déclaré le décès ainsi que la cessation d'activité indépendante, versant même une ultime cotisation après le décès de son époux.

«Je ne demande pas de réparation financière, je veux juste qu'ils me laissent tranquille», a déclaré Lisiane Duwel à La Voix du Nord.

Le RSI ne pouvait être joint par l'AFP mercredi dans la matinée.

(source : Journal L'Alsace du 27 octobre 2010 - cliquez ici pour lire l'article dans son contexte original)

Le Papier et le Pixel : fable d’un La Fontaine moderne sur l’avènement du numérique | Villemagne

Le Papier et le Pixel : fable d’un La Fontaine moderne sur l’avènement du numérique Villemagne




"Maître Papier, sur une étagère perché,

Tenait en son bec un beau livre..."

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Prière pénitentielle des conducteurs, du Père Guy Gilbert "prêtre des loubards"


Prière pénitentielle des conducteurs, du Père Guy Gilbert "prêtre des loubards"



PRIERE PENITENTIELLE DES CONDUCTEURS


Pardon, Seigneur, pour l'immense Sarajevo que sont les routes de France où, nous, les snippers du bitume, nous ne visons personne, mais tuons n'importe qui par nos excès de vitesse.


Pitié, Seigneur, pour tant d'innocents écrasés, pane qu'ils ont eu le malheur de traverser la départementale qui coupe leur village, alors que nous foncions à cent vingt kilomètres à l'heure.


Pardon pour ce père qui, voulant arriver à l'heure pour un repas de famille, a doublé dans un virage en décimant sa propre famille. Il a tué, de plus, le père, la mère et un enfant dans la voiture arrivant en face. Sept gosses s'y blottissaient... Pitié pour les six orphelins blessés dont deux sont handicapés à vie.


Pardon, Seigneur, de me foutre complètement de la vie des autres conducteurs mais de respecter uniquement l'emplacement des radars et l'endroit où les policiers sont embusqués.


Pardon, Seigneur, pour les centaines de jeunes qu'on trouve rituellement, chaque année, le samedi soir, déchiquetés dans les restes de leur voiture ou brûlés vifs en sortant des boîtes de nuit.


Pardon, Seigneur, pour les voitures nouvelles, spéciales jeunes, que nous leur vendons allégrement, grâce en partie au cadran de vitesse indiquant deux cents kilomètres à l'heure. Aie pitié de nous, adultes, leurs marchands de mort.


Pardon pour les bras d'honneur et autres gestes, face à un fou du volant, alors que nous savons que cela exacerbera son agressivité, en l'appelant à un peu plus de violence.


Pardon, Seigneur, pour nous les anciens qui, nous considérant comme très verts, refusons de nous résoudre à lâcher le volant, prétextant que notre vue ne baisse pas trop et que nous entendons très bien d'une seule oreille.


Pardon, enfin, Seigneur, pour être sans pitié pour le criminel alors que nous nous trouvons tant de circonstances atténuantes quand nous tuons sur la route par homicide involontaire, à la suite d'imprudences multiples ou d'un trop-plein d'alcool.


Aide-moi, Seigneur, chaque fois que je prends ma voiture, à faire une courte prière pour Te demander une conduite pacifique, un accélérateur respectueux des limites et un grand amour de l'autre.


Père Guy Gilbert

(mars 1994, dans sa chronique dans la revue « la Croix »)

vendredi 22 octobre 2010

Le FnacBook arrive - Freenews : L'actualité des Freenautes - Toute l'actualité pour votre Freebox

Le FnacBook arrive - Freenews : L'actualité des Freenautes - Toute l'actualité pour votre Freebox

Le livre numérique, c'est peut-être un progrès technologique... Mais pour ma part, je préfère le contact avec le livre-papier, palpable et comme vivant entre nos mains, l'odeur du papier, de l'encre, etc...

Grèves et blocages, vus par Nicolas Sarkozy


Le sens de la formule, l'art de dire les choses, mais il faut reconnaître qu'en l'occurence il a raison...



lundi 18 octobre 2010

Être un exemple, citation de Clementia Garayt (unepenseeparjour)

Être un exemple, citation de Clementia Garayt (unepenseeparjour) :

En quoi serais-je meilleure que les autres, pour avoir la prétention de vouloir les faire grandir ?

Ne serait-ce pas plutôt les autres qui me donnent la possibilité de grandir à leur contact ?

Clementia Garayt (pensée du 18/10/2010)

dimanche 17 octobre 2010

Baritone Saxophone, Bach 1st Cello Suite, Courante, Minuets

Ah, j'ai enfin retrouvé surYouTube cette vidéo dont un ami m'avait parlé. J'ai toujours aimé le son du violoncelle et du saxophone : je ressens la voix du violoncelle comme une douce caresse alors que c'est comme si le saxophone répandait sur moi un souffle chaud...